Truffes Blanches : Quelles sont les stratégies de négociation ?
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Shelton Polley 24-12-23 10:18 view9 Comment0관련링크
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Ces opérations se pratiquent depuis le commencement de mai jusqu’à la fin de juin, selon que la saison est plus ou moins hâtive et que les pluies ont permis de préparer la terre plus tôt ou plus tard, et suivant la variété des navets qu’on veut cultiver. Dans notre voyage culinaire, nous explorerons les terrines et autres préparations où notre Tuber borchii, variété de truffes noire lisse blanches, magnifie les mets de son parfum luxueux, surtout pendant sa période de maturité s’étendant de mi-janvier à fin avril. Le semis peut avoir lieu depuis la fin de juillet jusqu’à la fin d’août, principalement pour le Navet rond pyriforme ; pour le Rutabaga, on ne peut le différer au-delà de la fin du premier de ces mois ; encore arrive-t-il quelquefois qu’il ne parvient pas à toute sa grosseur. Le navet de Suède ou rutabaga peut être semé quinze jours plus tôt que les autres espèces, et c’est un avantage dans les grandes exploitations où on a une vaste quantité de terrain à ensemencer en cette plante ; on commence par le rutabaga, et on finit par les autres variétés.
Ces deux opérations doivent être faites le même jour dans la culture bien entendue des turneps en rayons ; elles devraient même l’être pour la plupart des autres plantes fumées et cultivées de la même manière. Sous ce rapport seul, la culture truffes noires en tranches et huile de truffe blanche rayons est d’un immense avantage. On se redit, pendant un mois, la phrase de Lamartine sur le drapeau rouge, « qui n’avait fait que le tour du Champ de Mars, tandis que le drapeau tricolore », etc ; et tous se rangèrent sous son ombre, chaque parti ne voyant des trois couleurs que la sienne et se promettant bien, dès qu’il serait le plus fort, d’arracher les deux autres. Encore, si vous étiez en passe d’hériter ; mais il paraît qu’il n’avait que sa pension du roi… Il s’y livra en 1455 une bataille dans laquelle le duc d’York, Richard, battit le roi Henri VI et s’empara de sa personne ; en 1461 Marguerite y battit Warwick et reprit Henri. ARGYRE. s. f. Nymphe dont il est parlé dans la Mythologie. Quand la terre est prête pour le fumage, on peut, au lieu d’ouvrir les sillons avec la charrue ordinaire, par deux traits de charrue, employer une charrue à deux oreilles, qui, par conséquent, déverse la terre également de chaque côté et forme le sillon d’un seul coup ; on se sert avec le même avantage de cette charrue, pour recouvrir le fumier placé dans les sillons, et on abrège ainsi de moitié cette partie de l’opération ; cette méthode me semble préférable dans les terrains légers.
Un mois environ après cette grande opération, quand les graines qui étaient restées dans la terre ont eu le temps de germer et de pousser, on la renouvelle une seconde fois. Dans cette opération, le champ reste labouré à plat et très-uni. Ce sarclage est extrêmement facile dans les rangées de navets ; un homme et un cheval tranquille font beaucoup de besogne dans une journée. Quand on veut faire manger les navets sur place, on est obligé d’avoir des claies, afin d’empêcher les animaux de vaguer à travers le champ, et de gâter plus de nourriture qu’ils n’en consommeraient. Quand on fait manger sur le sol la feuille aux bestiaux, il faut avoir soin que les animaux en trouvent assez, pour qu’ils n’aillent pas déterrer les navets et en attaquer le corps, qui se gâterait alors avec plus de facilité. Le but de cette opération est de débarrasser la terre des plantes étrangères qui sont levées en même temps que les navets, et aussi d’ouvrir la terre, sans la retourner, pour la rendre perméable aux influences atmosphériques, surtout à l’humidité de la nuit. Dans les terres légères, naturellement assez faciles à être ameublies, cette opération deux et même une seule fois pratiquée suffit, avec le labour d’automne ; mais, dans les terres fortes, compactes, argileuses, cette opération pratiquée une seconde fois ne suffit quelquefois pas encore, et il est bon, si la terre n’est pas bien ameublie, de la répéter une troisième fois.
Cette seconde opération enlève le reste des plantes étrangères et espace les navets d’environ un pied. Par-dessus la couche de terre, que l’on fait assez épaisse, on met une seconde couche de paille, qui fait toit et empêche la pluie de pénétrer dans l’intérieur. Le champ ressemble alors à un tapis où l’on ne rencontre que difficilement une motte de terre plus grosse qu’une pomme. Et comme la culture des Indiens devait être fort primitive, à en juger par les petits échantillons apportés en Europe et qui ont été loin d’attirer sur eux l’attention, en passant de l’état sauvage à l’état cultivé, d’abord au Chili, puis au Pérou, la Pomme de terre n’a éprouvé que peu de modifications. Comme les oreilles des charrues ne déversent point deux pieds de terre, il reste une petite partie, B, B, peu remuée, entre les rayons séparés par cette distance de 2 pieds. C’est à peu près la même méthode que celle employée dans les marshlands du Lincolnshire pour conserver les pommes-de-terre. En général, on peut dire que sans les Pommes de terre, on auroit vu périr de faim dans toute l’Allemagne, dans les pays du Nord, en Suisse, etc., des cent mille personnes, peut-être des millions, vu la disette extrême des bleds qu’on ne pouvoit pas se procurer en quantité nécessaire, même pour de l’argent : chacun demandoit du pain, on n’en avoit pas et les Pommes de terre y suppléèrent…
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